Cette étude a recruté un total de 200 PVYIH âgées de 4 à 87 ans qui sont asymptomatiques pour le COVID-19. Trente-six (1 8%) étaient positifs pour les lgM et/ou lgG du SRAS-CoV- 2, dont trois (1,50 %) pour les IgM et 33 (16,50%) pour les lgG. Parmi les participants diagnostiqués positif s à l'TgM, 66,67% (2/3) présentaient les charges virales V I H les plus élevées et les numérations de lymphocytes T

SANTE
CD4 les plus faibles (p<0,0001). L'expression de la CRP était relativement plus élevée chez les individus positifs aux IgG du COVJD-19
(7,95 ± 12,5 mg/l) que chez les individus négatifs (6,26 ± 6,92 mg/l) p = 0,37. Au
moment de l'inclusion , les participants n'étaient pas vaccinés contre le COVID-19.
Une différence statistiquement significative de séroprévalence a été observée entre les participants ayant une charge virale VIT T inférieure ou supérieure à 20 copies/ml (p<0,05).


Parmi les part1c1pants positifs pour les lgM, 66,67 % (2/3) avaient les charges virales Vll-1 les plus élevées avec les taux de lym phocytes T CD4 les plus faibles (p<0,0001) ; ce qui n'était pas le cas des paiticipants testés positifs pour les lgG (p<0,05) dont 75,76 % avaient une charge virale faible (<20 copies/mL) voire indétectable et 90 % avaient des taux de lymphocytes T CD4 supérieurs à 500 cellules
/µL .